Yen Binh-Dai Tu 116 km
A 7 h la route est humide pour notre départ. Elle le restera toute la matinée .
Les scieries ont laissé place à des paysages plus bucoliques et verdoyants malgré le déboisement.
Cette déforestation a cependant permis d'implanter de nombreuses parcelles de théiers .
A midi, à la sortie de Thuyen Quong, nous dévorons un canard grillé en entier ( pour avoir des ailes), du lard, une bassine de riz, le tout accompagné d'une bière chaude rafraîchie par de nombreux glaçons ( comme font les Vietnamiens).
Après 115 km, nous trouvons une chambre dans un hôtel avec une literie très ferme mais prix très doux.....
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Mauvais calcul du capitaine lors du passage du rapide..... |
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Plantations de thé artistiques |
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Cueillette des nouvelle feuilles de thé |
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La maison du canard grillé à Thuyen Quong |
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La rivière Lô |
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Dernière promenade.... |
Toute cette déforestation est-elle bien régulée ? J'en doute, malgré les déclarations lénifiantes des autorités concernées ...
RépondreSupprimerToute cette déforestation est-elle bien régulée ? J'en doute, malgré les déclarations lénifiantes des autorités concernées ...
RépondreSupprimeret l année prochaine le machu picchu à vélo !!!bisousss,Agnès
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RépondreSupprimerAlors Daniel, le Machu Picchu en famille, tous à vélo !!!
Une réflexion bonne à lire.... de (Paolo Coelho)
Lorsque tu voyages, tu fais une expérience très pratique de l'acte de renaissance. Tu te trouves devant des situations complètement nouvelles, le jour passe plus lentement et, la plupart du temps, tu ne comprends pas la langue que parlent les gens. Exactement comme un enfant qui vient de sortir du ventre de sa mère. Dans ces conditions, tu te mets à accorder beaucoup plus d'importance à ce qui t'entour parce que ta survie en dépend. Tu deviens plus accessible aux gens car ils pourront t'aider dans des situations difficiles. Et tu reçois la moindre faveur des Dieux avec une grande allégresse, comme s'il s'agissait d'un épisode dont on doit se souvenir sa vie restante.